LES ADDICTIONS : les diminuer ou les supprimer, mode d’emploi

Dans toutes les addictions le meilleur remède est toujours celui qui coute le moins cher.
Par contre il est souvent non matériel et subtil, toujours intérieur de soi.

L’éthylisme fait beaucoup de ravages en France et dans le monde. Il suffit de regarder en direction du pays ou il fait les plus d’adeptes et vous commencerez a comprendre.

Citer ces pays ne sers à rien et envoie de mauvaises ondes alors non.
Par contre il est loisible d’associer quelques causes a ces phénomènes.

Voyons les causes
Manque d’amour, désœuvrement, sentiment d’impuissance par rapport a son avenir, déception du déroulement de sa vie, incompréhension de son entourage direct, résignations en se contentant d un minimum.
Défiance envers tous les systèmes, les institutions, les entreprises, les autres, les religions, manque énorme de spiritualité, non respect de la Création donc de l’autre des autres quels qu’ils soient.

Pour vaincre l’éthylisme il est nécessaire que la personne soit entourée par des personnes bienveillantes capables de prodiguer de l’amour sans contrepartie financière ou autre. Aider les autres est une vocation et non un métier accompagné de tous ses droits, heures fixes RTT etc..

En face des personnes éthyliques il est nécessaire de s’abstenir de conseils visant a lui dire d’arrêter la boisson alcoolique. Il est constant que le malade du comportement a essayé lui-même de ne plus boire, lui dire, lui reprocher etc..
C’est l’enfoncer davantage.

Sa réflexion intérieure le conduit inévitablement a se persuader qu’on ne le comprends pas, qu’on ne l’aime pas.
Donc, n’est pas écouté au sens compréhension ou aide, celui ou celle qui se comporte ainsi devant un alcoolique.

Les addictions outre le manque d’exister, par le déficit d’amour reçu ont des antidotes,  pour la première fois a l’essai chez deux de mes clients. Bien sur, il est nécessaire qu’autour de ce malheureux on se mobilise pour renforcer l’affection sincère.

Ai dire d’un des membres de ses familles  les essais  font fait apparaitre une diminution de la prise d’alcool, chez l’un, l’arrêt total chez l’autre.